La taverne du vif d’argent 

Une équipe de choc
La rencontre d’un couple de passionnés de cuisine, une équipe très complémentaire qui sait mêler les saveurs traditionnelles à une cuisine plus moderne.
Les valeurs qui les représentent sont la générosité, la simplicité et la gourmandise.

Léonie

Fille d’un Alsacien de Fegersheim et d’une Bourguignonne de Chalon-sur-Saône, Léonie Sittler a passé son enfance dans le tout petit village vosgien de Châtas (50 habitants, près de Saales), dans le style « petite maison dans la prairie », avec un grand et un petit frère ainsi qu’une petite sœur.
Léonie a beaucoup cuisiné avec sa grand-mère, et ses parents, de formation scientifique. Si elle a toujours voulu faire ce métier, elle, la bonne élève, a d’abord été convaincue par ses parents de passer d’abord le bac, dans sa ville natale de Saint-Dié-des-Vosges.
Elle arrive en Alsace pour passer son CAP puis son BP de cuisine en alternance au CEFPPA d’Illkich.
Dès sa première année d’apprentissage, à l ‘Hôtel du Parc d’Obernai, elle rencontre son futur conjoint. Elle poursuit à l’étoilé Michelin de Rhinau, Au Vieux Couvent , pendant deux ans, « j’en suis sortie avec un vrai bagage. Le chef, Alexis Albrecht est super pédagogue ! On travaille les produits dans leur entièreté », explique-t-elle en précisant qu’elle y a appris, par exemple, à désosser un chevreuil.
Ensuite, elle est devenue cheffe de partie à l’ hôtel Val-Vignes à Saint-Hippolyte, où elle est restée trois ans, principalement au poste chaud, gérant aussi bien des groupes que des petits plats à la carte, « avec 90 % de fait maison. Je serais restée là-bas, si on n’avait pas eu ce projet ».

Kévin

Tout comme ceux de Léonie, les parents de Kévin Pucijasevic sont aussi « sans prétention » des passionnés de cuisine. Ils se sont rencontrés dans les odeurs de café, chez le torréfacteur où ils travaillaient, à Paris, où naît leur fils unique.
C’est aussi dans la capitale que Kevin passe son CAP de cuisine, et fait ses premières armes derrière les fourneaux, gravitant dans le triangle d’or parisien. Sur les Champs Élysées, dans le Grand Palais, et même quelques extras à l’Assemblée Nationale.
De son court passage au Bristol , le commis se rend compte qu’il préfère la cuisine traditionnelle à celle des étoiles. Son dernier poste parisien, aux Sens Uniques sur la butte Montmartre, il l’entrecoupe d’une parenthèse d’un an en Australie.
Avide d’expériences et de perspective d’évolution, il poursuit en tant que chef de cuisine au Grognard à Riquewihr, pendant quatre ans. Il y apprécie la créativité qu’il peut déployer, entre tartes flambées et cuisine traditionnelle, beaucoup de suggestions du moment.
Puis, Au Clos des Sources à Thannenkirch, « on m’a donné l’envie de devenir chef à part entière, à assumer des responsabilités ».

source : les DNA

La taverne du vif d’argent 

Une équipe de choc
La rencontre d’un couple de passionnés de cuisine, une équipe très complémentaire qui sait mêler les saveurs traditionnelles à une cuisine plus moderne.
Les valeurs qui les représentent sont la générosité, la simplicité et la gourmandise.

Léonie

Fille d’un Alsacien de Fegersheim et d’une Bourguignonne de Chalon-sur-Saône, Léonie Sittler a passé son enfance dans le tout petit village vosgien de Châtas (50 habitants, près de Saales), dans le style « petite maison dans la prairie », avec un grand et un petit frère ainsi qu’une petite sœur.
Léonie a beaucoup cuisiné avec sa grand-mère, et ses parents, de formation scientifique. Si elle a toujours voulu faire ce métier, elle, la bonne élève, a d’abord été convaincue par ses parents de passer d’abord le bac, dans sa ville natale de Saint-Dié-des-Vosges.
Elle arrive en Alsace pour passer son CAP puis son BP de cuisine en alternance au CEFPPA d’Illkich.
Dès sa première année d’apprentissage, à l ‘Hôtel du Parc d’Obernai, elle rencontre son futur conjoint. Elle poursuit à l’étoilé Michelin de Rhinau, Au Vieux Couvent , pendant deux ans, « j’en suis sortie avec un vrai bagage. Le chef, Alexis Albrecht est super pédagogue ! On travaille les produits dans leur entièreté », explique-t-elle en précisant qu’elle y a appris, par exemple, à désosser un chevreuil.
Ensuite, elle est devenue cheffe de partie à l’ hôtel Val-Vignes à Saint-Hippolyte, où elle est restée trois ans, principalement au poste chaud, gérant aussi bien des groupes que des petits plats à la carte, « avec 90 % de fait maison. Je serais restée là-bas, si on n’avait pas eu ce projet ».

Kévin

Tout comme ceux de Léonie, les parents de Kévin Pucijasevic sont aussi « sans prétention » des passionnés de cuisine. Ils se sont rencontrés dans les odeurs de café, chez le torréfacteur où ils travaillaient, à Paris, où naît leur fils unique.
C’est aussi dans la capitale que Kevin passe son CAP de cuisine, et fait ses premières armes derrière les fourneaux, gravitant dans le triangle d’or parisien. Sur les Champs Élysées, dans le Grand Palais, et même quelques extras à l’Assemblée Nationale.
De son court passage au Bristol , le commis se rend compte qu’il préfère la cuisine traditionnelle à celle des étoiles. Son dernier poste parisien, aux Sens Uniques sur la butte Montmartre, il l’entrecoupe d’une parenthèse d’un an en Australie.
Avide d’expériences et de perspective d’évolution, il poursuit en tant que chef de cuisine au Grognard à Riquewihr, pendant quatre ans. Il y apprécie la créativité qu’il peut déployer, entre tartes flambées et cuisine traditionnelle, beaucoup de suggestions du moment.
Puis, Au Clos des Sources à Thannenkirch, « on m’a donné l’envie de devenir chef à part entière, à assumer des responsabilités ».

source : les DNA

La taverne du vif d’argent 

Une équipe de choc
La rencontre d’un couple de passionnés de cuisine, une équipe très complémentaire qui sait mêler les saveurs traditionnelles à une cuisine plus moderne.
Les valeurs qui les représentent sont la générosité, la simplicité et la gourmandise.

Léonie

Fille d’un Alsacien de Fegersheim et d’une Bourguignonne de Chalon-sur-Saône, Léonie Sittler a passé son enfance dans le tout petit village vosgien de Châtas (50 habitants, près de Saales), dans le style « petite maison dans la prairie », avec un grand et un petit frère ainsi qu’une petite sœur.
Léonie a beaucoup cuisiné avec sa grand-mère, et ses parents, de formation scientifique. Si elle a toujours voulu faire ce métier, elle, la bonne élève, a d’abord été convaincue par ses parents de passer d’abord le bac, dans sa ville natale de Saint-Dié-des-Vosges.
Elle arrive en Alsace pour passer son CAP puis son BP de cuisine en alternance au CEFPPA d’Illkich.
Dès sa première année d’apprentissage, à l ‘Hôtel du Parc d’Obernai, elle rencontre son futur conjoint. Elle poursuit à l’étoilé Michelin de Rhinau, Au Vieux Couvent , pendant deux ans, « j’en suis sortie avec un vrai bagage. Le chef, Alexis Albrecht est super pédagogue ! On travaille les produits dans leur entièreté », explique-t-elle en précisant qu’elle y a appris, par exemple, à désosser un chevreuil.
Ensuite, elle est devenue cheffe de partie à l’ hôtel Val-Vignes à Saint-Hippolyte, où elle est restée trois ans, principalement au poste chaud, gérant aussi bien des groupes que des petits plats à la carte, « avec 90 % de fait maison. Je serais restée là-bas, si on n’avait pas eu ce projet ».

Kévin

Tout comme ceux de Léonie, les parents de Kévin Pucijasevic sont aussi « sans prétention » des passionnés de cuisine. Ils se sont rencontrés dans les odeurs de café, chez le torréfacteur où ils travaillaient, à Paris, où naît leur fils unique.
C’est aussi dans la capitale que Kevin passe son CAP de cuisine, et fait ses premières armes derrière les fourneaux, gravitant dans le triangle d’or parisien. Sur les Champs Élysées, dans le Grand Palais, et même quelques extras à l’Assemblée Nationale.
De son court passage au Bristol , le commis se rend compte qu’il préfère la cuisine traditionnelle à celle des étoiles. Son dernier poste parisien, aux Sens Uniques sur la butte Montmartre, il l’entrecoupe d’une parenthèse d’un an en Australie.
Avide d’expériences et de perspective d’évolution, il poursuit en tant que chef de cuisine au Grognard à Riquewihr, pendant quatre ans. Il y apprécie la créativité qu’il peut déployer, entre tartes flambées et cuisine traditionnelle, beaucoup de suggestions du moment.
Puis, Au Clos des Sources à Thannenkirch, « on m’a donné l’envie de devenir chef à part entière, à assumer des responsabilités ».

source : les DNA

du mardi au dimanche

de 12h à 14h et de 19h à 21h

5 place du Maréchal Foch
68160 Sainte-Marie-aux-Mines

03 89 58 57 29

du mardi au dimanche

de 12h à 14h et de 19h à 21h

5 place du Maréchal Foch
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